Premiers pas dans le désert ...

Un grand coup sur la tète ...

voilà la dernière chose dont il se souvenait, il avait vu son frère et sa belle soeur courir vers les monstres, le coupe coupe dégainé, en lui criant de partir, il s'était retourné vers la sortie du bâtiment, et là, le COUP, puis plus rien !

il voulait ouvrir les yeux, mais la lumière passant au travers de ses paupières douloureuses le faisait déjà souffrir horriblement ... il essaya de ramper au sol, en tatonnant, et sentit du sable sous ses mains !

Du sable, mais où était -il donc ?

il tenta un crissement de paupières, la face vers le sol.

lumière intense, du jaune, du sable, et là, plus loin, face à lui, un objet brillant, il s'en rapprocha, toujours en rampant, c'était un bout de tôle ...

Ça peut servir, il s'en empara, se mis à genoux, ouvrit les yeux plus grand, et perçut, non loin de là, une espèce de muraille artisanale qui paraissait bancale, boitillant plutôt que marchant, la gorge en feu, les yeux brulants, il tenta de s'y rendre ....

le chemin lui parut si long, si éprouvant qu'à chaque instant, il voyait la mort en face, la chaleur était insupportable, et ses muscles endoloris lui refusaient chaque mouvement, mais au bout de quelques temps, il fut sous l'ombre projetée par le rempart, et s'approcha de ce que l'on pourrait qualifier de portes, tout un amas de métal et de bois, cloués avec les moyens du bord, et il entra, dans la ville !!

Il y avait quelqu'un qui guettait à la porte. Une gamine armée d'un lance pile visiblement chargé qu'elle tenait pointé sur le nouveau venu de façon relativement menaçante.

- Qu'est ce que tu fous là toi ? T'es qui ?


Elle regardait avec suspicion l'espèce de tas de chair déséchée qui venait de passer la porte en rampant.
Un zombie se serait pas trimbalé avec une plaque de tôle dans le désert. Mais le gars qu'elle détaillait, elle ne l'avait jamais vu auparavant. Pourtant cela faisait quasiment deux semaines que la ville résistait aux hordes. Ses compagnons d'infortune, elle les connaissaient tous.

Deux semaines ou on l'avait assignée à garder la porte.
Les autres disaient qu'elle pouvait pas sortir dehors car c'était trop dangereux et qu'elle était trop jeune. Mais elle savait bien qu'ils n'avait simplement pas envie de s'encombrer d'une gamine incapable de transporter quoique ce soit.

Les journées à garder la porte et à guetter le retour des expéditionnaires étaient effroyablement longues, aussi c'est avec une certain excitation qu'elle reposa sa question tout en poussant l'inconnu du bout du pied.

- Oh, j'tai demandé qui t'étais !

La jeune femme au regard gris passait justement par là.
Ayant eut terriblement soif le matin en se levant (après une rude nuit à croiser les doigts sous sa maigre couverture), elle avait décidé de rester en ville et d'aider ses camarades ouvrier dans leur tâche.
Tatousky posa la poutre rafistolée et encombrante qu'elle venait de fabriquer à partir de planches tordues pour s'approcher du malheureux et d'Alinoée.

"Tu crois qu'il comprend ce qu'on lui dit?"

Demanda-t-elle.

"En tout cas, il a un beau cadeau..."

Tatousky se pencha alors pour ramasser les plaques qu'il transportait.

Jebilo avait passé la porte, il s'imaginait en sécurité, et là, près de lui, une forme énorme et haute comme un immeuble s'approchait de lui, il entendit son râle, incompréhensible, et pris peur ...

une douleur vive lui faucha les côtes, c'est comme si un camion l'avait heurté !

le râle repris, d'une manière plus inquisitrice ...

Une autre ombre approcha, encore plus imposante et massive, il prit peur, et s'agrippa à sa plaque de tôle, mais lorsque le monstre lui arracha, il n'eut pas la force de le retenir et fondit en sanglots !

Ange de la mort et de la désolation, pleura t-il, vous pourrez me tuer, mais mon âme restera intacte !

La gamine écarquilla les yeux. Son nez se retroussa dans un expression de dégout.

- Je crois qu'il est timbré...

Elle se tourna vers Tatousky et lui lança :

- T'as qu'a apporter ça à la banque, moi j'vais m'occuper de lui...

Elle dégrafa la gourde et s'agenouilla au niveau de la tête de l'étrange créature.

- Genre on a besoin d'un gars en plus à pomper notre eau, soupira-t-elle.

Elle avait bu la veille, elle se passerait d'eau aujourd'hui, c'était pas comme si elle n'avait pas l'habitude.
Elle lui attrapa la tête et la fit basculer sur ses genoux, en l'obligeant a ouvrir la bouche. Elle déversa ensuite doucement le contenu de sa gourde de façon à ce que l'étranger ne s'étouffe pas.

- J'suis pas sur que ça soit une bonne idée de pas te laisser crever de soif là... Mais bon au pire on te pendra et on fera la fête. Or pour te pendre, il vaut mieux que tu sois vivant !

Il fallait évidement que l'étranger s'endorme. Et franchement le rictus qu'il avait eut ne laissait pas entendre à Alinoée qu'il lui fut reconnaissant de quoique ce soit.

- Putain c'est pas vrai c'est qui se type qui s'endors quand on lui donne de l'eau ?

Elle se releva et l'attrapa sous les aisselles pour le trainer vers les tentes. Elle allait l'installer dans celle de l'anthropologue, un gars qui avait cru qu'il pouvait aller étudier de près de comportement des zombies. On avait jamais retrouvé sont corps, mais personne n'avait pris la peine de récupérer sa tente.
Tout le trainant l'étranger, ce qui n'était possible que parce qu'il était si déshydraté qu'il ne pesait presque plus rien, la fille pestait :

- Même pas foutu de gérer son eau dans le désert, hein ? C'est bien beau de compter sur les autres pour se sortir du pétrin, mais moi j'ai pas envie d'aller chopper une deuxième ration d'eau. Pas envie de me faire lyncher pour toi mon gars. J'vais de foutre à l'ombre et j'vais aller en parler avec les ouvriers...

Au bout d'un long moment d'efforts la gamine, arriva à la dite tente. Elle l'y déposa et se frotta les mains sur son pantalon. Puis elle s'accroupit et observa l'étranger plus attentivement

- En même temps si faut attendre que tout le monde délibère sur ton sort, t'aura clamsé d'ici là, surtout si faut que les expéditionnaires rentrent.

Elle resta silencieuse un moment, soupira, se releva et partit sans un mot à la pompe.
Elle revint avec sa gourde pleine et s'installa, bien décidé à attendre que l'autre se réveille.

Reposé, ce fut la première sensation qu'il sentit, puis le léger manque d'eau, il sentait à nouveau sa peau, ses perceptions naturelles comme l'ouie fonctionnaient à nouveau.

tranquillement, il ouvrit ses yeux secs, et vit une jeune fille qui attendait paisiblement à coté de lui, adossée à la toile de tente, regardant à l'extérieur.

Il tenta de lui dire bonjour ... tout ce qui sortit fut bb...rr.

la gorge sèche, il tenta de sourire, mais ses lèvres lèvres gercées se rouvrirent, et il se ravisa.

Sentant qu'elle n'était pas particulièrement heureuse de s'occuper de lui, mais se doutant qu'il n'était pas arrivé ici seul, alors qu'il combattait les monstres dans le désert, il se fit paisible, et lui lanca un petit geste amical, lorsqu'elle se retourna, une gourde à la main !

Y'avait quelques heure que l'autre pionçait et que la fille attendait. Le soir commençait à tomber et la chaleur n'émanait plus du soleil mourant mais du sol.
Les expéditionnaires n'allaient plus tarder et il serait temps de dresser le bilan de la journée.
Elle redoutait un peu le moment ou elle devrait expliquer les deux rations prises...

Elle était plongée dans ses pensées lorsqu'elle entendit l'autre bouger. Il émit un espèce de râle très sec. Sans même prêter attention à son geste grotesque, elle le dévisagea sans aucune sympathie.

-Hé ben tu tire une sale gueule !

Elle se releva, le toisa et laissa pendre sa gourde sous le nez du gars. Elle avait un méchant petit sourire au coin des lèvres.

- Si t'a soif alors lève toi. J'tais déjà filé la mienne, maintenant ce que tu consommes, tu le gagne.

Éreinté par une journée peu fructueuse passée à arpenter le désert, Reds' - guidé par le soleil couchant - prenait la direction de la ville. La faim, la soif, la fatigue et l'esprit plus tellement affuté lui firent douter de la direction prise :

"Mais quel boulet ! je suis parti vers l'Ouest ou vers l'Est ce matin ?!?!"

Puis il se remémora qu'il ne supportait pas de voir les rayons naissants du soleil frapper son visage - sans doute de vieux souvenirs du noctambule qu'il fut ...-:

"Alors si je suis parti vers l'Ouest ce matin, je n'ai qu'à suivre mon ombre dessinée par le soleil couchant . [...] En principe ça devrait être ça..."

Les rayons rougeoyants de l'astre tombant à l'horizon l'horrifiaient - trop de sang a coulé en si peu de temps -. Les mirages flottants dans ce désert étouffant faisaient danser son ombre laissant planer l'effroi : était-il vraiment seul en ces lieux? Au loin se dessina une forme presque géométrique,la ville ...ou une horde?. Nul ne peut dire, la perception étant complètement altérée.

Encore quelques minutes de traversée pénible pour finalement faire baisser l'angoisse, c'était bel et bien la ville qui se profilait.

"Courage Red's, tu tiens le bon bout"

... enfin ! ...

En franchissant les portes de la ville, Reds remarqua au sol des traces suspectes. Il pensa un instant :
"Quelqu'un aurait-il osé trainer un cadavre au sein même de la ville ?!?!" avant d'essayer d'ôter cette idée de sa tête ; la confiance mutuelle reste tout de même la meilleure arme contre ses monstres.

Il se dirigea vers sa tente puis modifia sa direction : encore un dernier effort, faire un léger détour vers le monticule à conneries que ses concitoyens appelaient de manière saugrenue La banque. Il déposa les fruits de sa récolte journalière : une morceau de grillage - Il hésita un instant avant de le déposer - et un petit manche vibrant chargé - le bouton "max power" était cassé et la position ne pouvait que perdurer : Cette idée l'amusait beaucoup...et nous aussi ! Reds qu'a tu fais avec ce PMV?

Enfin sa tente ! Il déposa son sac à dos derrière celle-ci - Pourquoi son sac bougeait-il, qu'avait-il put laisser à l'intérieur?

Jerem qui était allé fouiller tout seul une zone a proximité de la ville qui n'avait pas été fouillé la veille, rentra donc un peu plus tot.

le ciel est encore clair, il doit -etre vers les 22h30 (marmonna dans légère barbe)

A en entendre les cliquetis dans son sac, on peut ce douter qu'il n'a pas trouvé autre chose qu'une poignée de vis.

HUh!? elle est où la fillette de la porte? (grogna d'un air inquiet)

personne n'était là pour entendre ce qu'il venait de dire, il alla donc poser délicatement en banque la poigné de vis trouvée, ainsi qu'une pile.

Ahh enfin le pmv! (regarda le registre et s'exclama) oh sa ne métonne pas, beh tiens je vais aller le féliciter pour sa trouvaille!

passant par un petit raccouci vers l'atelier, jerem arriva donc à l'arrière de la tente de reds', et fût desuite attiré par les mouvements et petits bruit qui émannaient du sac à dos de reds'.

(en entrouvrant le sac) Naaan j'y crois pas! C'est un chat! Veinard ce red's .. grr en plus il voulait le cacher.

Jerem sans hésiter rentra dans la tente avec le sac dans lequel était le chat en disant

Alors depuis quand tu séquestre les chats?? (avant qu'il n'est pu placer un mot) nan sérieux, c'est la première fois que tu nous cache des objets.. et moi la premiere fois que je fouille le sac d'autruis, et j'en suis désolés.

(reds' d'un air choqué) bonsoir jerem, tu est bien gentil, mais tu aurais pu prévenir avant de rentrer dans ma tente comme si tu voulais m'agresser, donc oui je pensais me garder ce chat, je le mérite bien, je sors casiment tout les jour en expés, bref, bon tu peux me laisser tranquille maintenant?

(jerem d'un ton gêné)Oui oui je te laisse, au fait félicitation pour le pmv, bonne nuit!

(red's d'un air soulagé) oui merci, bonne nuit à toi aussi en plus j'en peux plus.

jerem en revenant par le chemin principal, entendi des bruit et senti des mouvements dans la tente de l'anthropologue, interloqué il s'avança un peu

Nan c'est surment pas un chat.. humm..

après quelques secondes d'hésitation il entra dans la tente en ayant bien froté ces pied auparavant pour montrer sa présence.
Il resta figé quant-il vu la petite Alinoe debout avec un petit sourire méchant, envers le pauvre homme au sol.

(fortement étonné) Qu'..qu'est c..ce que tu..mais...qui c..c'est lui?

Cela fait plusieurs jours que l'élan bleu Mirc vadrouille dans le désert à la recherche d'un endroit sûr des zombies. Le désert, il n'a vu que ça depuis qu'il avait quitté ses vieux amis devenus fous à cause de l'excès de soleil et le manque d'eau.

" Je crois que j'aurai du rester avec eux car au moins je sais de quoi je serai mort."

D'un coup, il aperçoit une forme se dessiner à l'horizon, un petit bâtiment à l'allure délabrée. Le bâtiment se révèle de plus en plus que l'élan s'avance. Et là, c'est la stupéfaction, c'est juste une vieille cabane de jardin au milieu du désert.

" Ca sent le mort par ici. Je fouille vite fait bien fait et je reprends mon chemin car les zombies commencent à pointer le bout de leur nez."

Parcourant rapidement la cabane, il aperçoit deux containers métalliques. S'en emparant, il se rend compte qu'ils sont pleins et plein d'eau en plus.

" C'est que du bonheur! Allez hop, l'affaire est ans le sac!!"

Reprenant sa route vers le Sud-Ouest, il ramasse également un morceau de ferraille qui dépassait du sable ainsi qu'un vieux morceau de caisse. Plus au loin, il aperçoit une nouvelle forme se dessiner au fur et à mesure à l'horizon.

" C'est bien gros pour être un simple bâtiment. Serait-ce la fin de mon dangereux périple au je devais m'enrouler dans des restes d'animaux pour éviter d'être repéré par les zombies."

Se rapprochant vers cette forme, il se rend compte que c'est une ville. Certes, elle est rafistolée de tous les côtés mais une ville quand même. En arrivant à la porte qui est encore ouverte malgré cette heure assez tardive, il lit à l'entrée: Horde des Mammouths.

" Mammouths, c'est des animaux morts. Serait-ce une ville de vieux fossiles devenus tous déjantés? Je rentre quand même et je verrai ce que je ferai demain"

Rentrant dans cette ville, l'élan se dirige vers la place publique afin de faire la rencontre de l'ensemble de la population et surtout se présenter

" Bonjour tout le monde! Je me présent, je suis Mirc l'élan bleu des contrées lointaines. J'ai parcouru le désert pendant plusieurs jours afin d'éviter de finir fou comme mes anciens compagnons de survie. Je peux dormir ici du moins pour cette nuit?"

Ne voyant personne réagir, il se dirige vers la banque afin d'en faire don à la ville. Se promenant dans le campement, il salue tous les habitants qui ne dormaient pas encore et se dirige vers une tente où des miaulements se font entendre.

"Bonjour cher ami. Je suis Mirc, l'élan bleu. Je peux dresser ton chat afin qu'il devienne un vrai tueur, un vrai Rambocat. Je te souhaite une bonne soirée"

Se trouvant un sembalnt de carton, l'élan s'en va rejoindre doucement les bras de Morphée.

Alinoée fait une grimace en voyant jerem débarquer dans la tente. Elle commençait à s'amuser.

- Qu'est ce que tu fout là ? l'expédition est déjà rentrée ?

Puis se rendant compte que son ton est pas franchement agréable, elle fourre sa gourde pleinne dans sa poche et hausse les épaules.

- Sais pas qui c'est, il était en train de crever devant la porte. J'lai rentré et je lui ait filé mon eau. S'que vu son état est pas suffisant.

Elle jeta un regard féroce à l'étranger à terre et poursuivit, très naturellement.

- Sauf que j'suis pas sur qu'il soit sympa. Ou que le reste de la ville soit daccord pour le garder. Alors bon. L'eau en bonus, faut bien qu'il la gagne. Alors bon, j'lui ait dit que si il voulait boire, falait qu'il se lève. Comme un deal tu vois... Quand y'aura tout le monde faudra décider de ce qu'on va.. hééé !

La gamine, sans finir sa phrase et plantant là les deux autres se précipita or de la tente. Ouais. Un elan bleu. Elle avait pas rêvé. C'était pas un trip, ni une hallu. T'façon elle pouvait pas avoir d'hallu. Les autre voulaient pas lui filer de cam. Trop jeune, mon cul, c'est juste qu'ils voulaient tout garder pour eux !

Faut avouer qu'il y a de quoi être stupéfait de voir passer un élan bleu. On en oublie presque les deux jerryc' qu'il ramène. Presque. La gamine reste interdite à bonne distance (on sait jamais que ça morde) et puis quand le bleu pionce, elle se rapproche et s'accroupit à coté de lui pour l'étudier de plus près.
Vraiment pas une banale de journée ça !

A la suite d'une micro-sieste méritée mais bien trop courte, Reds' resta assis adossé à sa tente caressant son chat qu'il ne put dissimulé plus longtemps à ses camarades ... celà dans le noble but de le préserver et ainsi éviter sa découpe à la boucherie ...

Reds avait les paupières aussi lourdes que deux grosses baloches de juilletiste : Toutes les drogues qu'il avait ingurgité l'empechaient de dormir plus d'une heure d'affilée - Saleté de remontées acides ! La fatigue torturait son esprit, sa raison ne tenait plus à grand chose : si ce chat pouvait l'aider à tenir encore un peu, dans cette survie rythmée au jour le jour.

Sentant l'animal faire ses griffes contre sa cuisse, Reds' repensa à la proposition de ce drôle d'étranger tout juste débarqué en ville : "Et pourquoi pas le dresser? L'Elan à l'air de s'y connaître : il faudra essayer d'en savoir un peu plus sur ses techniques de dressage" se disait-il.

Se réveillant après un long sommeil peut-être trop long à son goût, l'élan bleu est surpris par la présence d'une jeune personne qui l'étudie.

" Bonjour jeune demoiselle. Je me présente, Mirc. Et oui, je suis un élan et bleu de plus et. Je suis le dernier survivant de mon espèce. Ne sois pas étonner de me voir. Je sais que ça peut troubler de me voir mais je ne suis pas méchant. Je vais te raconter un peu d'où je viens."

Raclant sa gorge pour obtenir sa plus belle voix, Mirc conte à Alinoee ses origines lointaines. Il montre par des dessins fait à même le sable les différentes espèces qui vivaient avec lui. Ca va de l'écurrueil bleu super-héros au lapin jaune. Tout le monde vivait dans la bonne humeur mais surtout dans la stupidité la plus profonde. Se reméroré tous ses moments vécus met la larme à l'oeil à l'élan.

"Si tu veux, je reprendrai demain mon histoire car l'émotion est vraiment trop présente."

Ne pouvant aller fouiller assez loin dans le désert, Mirc sort pour ramasser des souches et des débris métalliques qui trainent au pied de la muraille, histoire de ne pas paraitre inutile aux yeux de la ville. Une fois sa besogne faite, il rentre tranquillement consigner ses trouvailles disgrâcieuses sur le grand registre de la ville. Après un passage à la tour folle pour essayer de savoir combien de zombies vont frapper ce soir aux portes, il croise Reds qui se ballade toujours avec son chat.

"Je peux t'apprendre comment rendre cet adorable chat en véritable tueur. Mais seul moi peux le faire car je possède un don qui permet de le conditionner. Es-tu prêt au dressage?"

Continuant son petit tour dans le campement de fortune, il vient d'avoir uneidée lumineuse: pourquoi ne pas faire un grand jeu pour mieux connaitre toute la ville.
Et rien de mieux qu'un tournoi de Papier-Feuille-Ciseaux. Il se met à la recherche d'un écriteau afin de mettre toute la ville au courant.

La fillete finissait juste de dire ces interrogations au sujet de cet homme, quelle sorta de la tente presque en furie, lorsqu'un élan bleu se profilait à l'horizon.
Jerem préféra rester au pret de cet homme, qui été somnolant, et faible, car l'élan semblait en bonne santé.
une courte nuit plus tard

Jerem depuis la tente dans lequel il était, entendait seulement quelques mots des conversation, serais-ce la fatigue?

Mhh je le sens bien ce "mirc" (en le regardant ramener et noter sur le registre ses petites trouvailles)

Il semblait chercher quelque chose, jerem s'avança donc.

-Bonjours à toi mirc, je te vois depuis tout à l'heure rechercher quelque chose, je peux t'aider?(d'un air chaleureux)

-Oui ce serais sympatique, je recherche d'un écriteau pour organiser un grand tournoi PFC afin de mieux vous connaitre.

-Oui je peut te trouver sa, dans la tente du vieil anthropologue disparu. (jerem partit sur l'instant chercher l'écriteau, puis à son retour..) voila votre écriteau, cela vous convient? Je compte sur vous pour réveiller et regrouper tout les citoyen de la ville.

jerem retourna ensuite au près du pauvre homme.